Zebrahaus, Berlin, 2025
ENG
Fixing branches to the wall, as if stitching the architecture with delicate lines of wood, becomes a symbolic seam between the built and the living. These fragile contours suggest an act of repair, not to close a wound, but to acknowledge an overlooked interdependence. Like precarious sutures, they remind us that the world holds together through invisible, often fragile connections between beings and places. These branch-threads invite us to consider space as an organism: inhabited, vulnerable, and in constant need of care, attention, and re-attachment.
FR
Fixer des branches aux murs, comme si l’on avait cousu l’architecture avec du végétal, crée une couture symbolique entre le bâti et le vivant. Ces lignes fragiles dessinent une tentative de réparation, non pas refermer une blessure, mais reconnaître une inter-dépendance oubliée. Comme des sutures précaires, elles rappellent que notre monde se tient grâce à des liens invisibles, souvent ténus, entre les êtres et les lieux. Ces branches-filaments invitent à penser l’espace comme un organisme : habité, vulnérable, et en constant besoin d’attention, de soin, de ré-attachement.
